Alors que la fédération internationale d’escrime a finalement levé la disqualification de l’ecrimeuse ukrainienne Olga Kharlan qui avait refusé de serrer la main à une adversaire russe, la question du boycott se pose pour les sportifs ukrainiens à l’approche des jeux olympiques de Paris 2024.
Home Uncategorized REPORTAGE. « Le plus important, ce n’est plus la participation aux compétitions mais...