Ils habitent à dix mètres du village grouillant d’athlètes, séparés d’eux par une haute barrière et des bâches, en plus d’un impressionnant dispositif de sécurité. Pourtant, beaucoup d’habitants du quartier Pleyel de Saint-Denis ont l’impression que ces Jeux se déroulent sur une autre planète.