Depuis la mi-mars, 1 600 personnes, évacuées camps de migrants ou de squats à Paris, ont été dirigés vers des « sas d’accueil temporaires régionaux », loin de la capitale. Les associations dénoncent une stratégie d’éloignement, à l’approche des Jeux olympiques. franceinfo a enquêté sur ce dispositif et s’est rendu dans un de ces centres d’accueil, à Bordeaux.