Dans leur monastère tibétain, les « nonnes Kung-fu » prient, danses et apprennent les arts martiaux comme les hommes. Une exception pour cette lignée bouddhiste axée vers le féminisme.
Dans leur monastère tibétain, les « nonnes Kung-fu » prient, danses et apprennent les arts martiaux comme les hommes. Une exception pour cette lignée bouddhiste axée vers le féminisme.